Diagnostic technique global

Le point sur le Diagnostic Technique Global

Le diagnostic technique global (DTG) est un document fournissant aux copropriétaires d'un immeuble une information précise et fiable sur l'état général du bien concerné.

Le diagnostic technique global a également pour but d'envisager les éventuels travaux à réaliser afin de conserver ou d'améliorer l'état de l'immeuble.

Quand fournir un DTG ?

Obligatoire pour les immeubles en copropriété pour lesquels est engagée une procédure d'insalubrité, le DTG est par ailleurs obligatoire dans le cas de la mise en copropriété d'un immeuble datant de plus de dix ans.

Pour réaliser ce diagnostic, les copropriétaires sont tenus de solliciter l'intervention d'un diagnostiqueur certifié, lequel aura pour mission d'analyser l'état apparent des parties communes du bien, sa performance énergétique mais veillera aussi à estimer le coût des travaux à entreprendre pour préserver l'état de l'immeuble.

NOS AUTRES PRESTATIONS

On ne le dira jamais assez : la sécurité d'un bien immobilier et de ses occupants passe notamment par une installation électrique saine et fiable.

Le diagnostic plomb ou CREP permet de connaitre la teneur en plomb des peintures, celles-ci en se dégradant peuvent générer des poussières et des écailles.

Les risques liés à une installation gaz défectueuse ne sont pas anodins.

La réglementation concernant l'amiante dans les biens immobiliers ne change pas : les ventes de biens construits avant le 1er juillet 1997 doivent par conséquent faire l'objet d'un diagnostic amiante pour être officialisées.

On sait que la performance énergétique d'un bien immobilier, et par conséquent la dépense d'énergie associée, constitue un paramètre essentiel pour un acheteur ou un locataire potentiel.

Seuls certains biens immobiliers sont concernés par la loi Boutin, à savoir les biens loués vides et à titre de résidence principale.

Alors qu'il était en application depuis plusieurs mois, remplaçant l'ERNMT, l'ESRIS a été lui-même évincé au profit de l'état des risques et pollutions (ERP) courant 2018.